La Manga
Gestalihome vend des maisons à La Manga del Mar Menor,
une ville espagnole située sur un littoral situé au sud-est de la péninsule ibérique, dans la région de Murcie.
Il appartient aux municipalités de Carthagène dans sa partie sud et de San Javier dans sa partie nord, qui ont formé un consortium pour administrer la zone.
Le littoral de La Manga forme une langue de terre de 21 km de long et qui s'étend de Cabo de Palos aux Salinas et Arenales de San Pedro del Pinatar. D'une largeur comprise entre 100 et 1200 m, il sépare partiellement la mer Méditerranée de la Mar Menor.
Certaines zones ont été protégées et il est possible de se faire une certaine idée de ce qu'étaient les paysages originaux de La Manga del Mar Menor:
Le parc naturel Salinas y Arenales de San Pedro del Pinatar est situé à la limite nord de La Manga et est le meilleur espace représentatif des différents écosystèmes qui ont formé ce cordon côtier dans les temps anciens. Il est protégé par la catégorie de parc naturel, ainsi que d'un site d'importance communautaire et d'une zone de protection spéciale pour les oiseaux au sein du réseau Natura 2000 de l'Union européenne.
Les marais salants de Marchamalo sont situés à l'extrémité sud de La Manga et sont inclus dans les soi-disant espaces ouverts et îles de la Mar Menor, protégés avec la catégorie de parc naturel, ainsi que SCI. Les marais salants sont l'habitat d'un poisson endémique du sud-est en danger d'extinction, le fartet, et abritent des populations de différents oiseaux aquatiques, comme le flamant rose ou la mouette adouin.
Parmi la végétation protégée dans cet espace, se détachent les espèces halophytes qui poussent sur des sols salins, comme la laitue de mer, le Sosa alacranera ou les asperges de la Mar Menor, en danger critique d'extinction.
Sur la plage de Las Amoladeras, également incluse dans les espaces ouverts et les îles de la Mar Menor, un minimum de reste de l'ancienne végétation typique des dunes est protégé, avec des espèces typiques de ces écosystèmes comme la corne de mer, l'immortelle jaune, la l'écorce (Ammophila arenaria), le lys maritime ou le chardon.
En 2012, des tâches de restauration environnementale ont été menées dans cette zone de Las Amoladeras, qui comprenait l'élimination d'espèces envahissantes, principalement des acacias, et la plantation de nombreux spécimens de genévriers des dunes qui avaient disparu de cette zone depuis l'Antiquité, et du mastic.
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